lundi 1 février 2010
Inespoir
Je ne crois pas en un jour d'épaules nues
Je ne crois pas en des lendemains qui chantent
Je ne crois pas au temps des cerises
Mais je chante pour des lendemains
D'épaules nues
Sous des cerisiers en fleurs
Poème de Jalel El Gharbi, in Nous sommes tous des migrants, Schortgen, 2009
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2 commentaires:
Magnifique texte !
Je crois en ces jours de beauté et j'aime que vous les chantiez.... J'ai beaucoup aimé ce livre et je l'ai prêté pour que d'autres y trouvent "les lendemains qui chante"-ront si nous avons le coeur en fleur comme les cerisiers ....
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